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  • Faustine Milard

Surfez sur la vague du marketing d'influence

Dernière mise à jour : 6 mars 2020


Nous sommes tous (ou presque) utilisateurs des réseaux sociaux, que ce soit personnellement ou professionnellement pour certains , comme la travailleuse indépendante que je suis.

Suivant son activité et son potentiel de développement professionnel, il n'est pas toujours utile de perdre son temps dans les réseaux sociaux. Néanmoins, pour ceux qui auraient le temps et dont l'activité touristique en serait dépendante, il peut-être interessant de s'intéresser aux influenceurs touristiques...

Voici deux très bons articles sur le phénomène, ses codes et comment choisir ceux à suivre ou à faire venir suivant sa cible, car tous les types de public ne sont pas sensibles aux charmes des influenceurs...

EXEMPLE CONCRET

Un exemple d'une mise en avant de prestation touristique avec la blogueuse Sysy in the City. Blogueuse, instragrammeuse et influenceuse, elle opère dans le monde du lifestyle, mère d'une famille de 5 enfants et voyageuse.

Venue en road-trip avec sa tribu en Lot et Garonne, elle a parcouru quelques bonnes adresses conseillées par l'office de tourisme de l'#albret et en a retiré pour chacune une mise en avant vécue, éprouvée et approuvée par Sysy in the city! Une recommandation d'influence qui remplace le bon vieux "bouche à oreille" pour toute sa communauté de près de 10 000 fans.

Soyons honnêtes, les réservations ou achats de produits n'ont pas décollés suite à cette publication. Mais elle participe à votre bon référencement, elle appuie sur le côté expérientiel de votre activité et vous rend encore un peu plus visible.


Si vous souhaitez aller plus loin, #franceinter a développé le sujet dans le magazine #interception : La toute-puissance des influenceurs, mythe ou réalité ?

"Les réseaux sociaux (Instagram et Youtube principalement) permettent désormais à tout un chacun de devenir un relais d’opinion. Publicitaires et responsables de marketing ont bien vu les avantages qu’ils peuvent tirer de l’utilisation judicieuse d’un internaute disposant de plusieurs milliers de « followers ». Et c’est ainsi que les cabinets spécialisés recensent quelque 150 000 influenceurs actuellement en France.

Le « nano-influenceur », tout petit, « parle » à moins de 10 000 abonnés. Mais s’il exerce son talent dans un domaine très spécifique, son influence peut tout de même être considérable.


Et la moitié de ceux qui ont plus de 50 000 abonnés en tirent un revenu financier. Au premier semestre de cette année, l’Oréal a investi 47% de ses dépenses publicitaires dans les médias numériques. Pour Estée Lauder, on monte à 75% (!), avec des dépenses « fléchées » notamment vers le marketing d’influence.

Tout cela n’est pas sans poser de problèmes : les influenceurs sont souvent des jeunes qui parlent aux jeunes. Qu’en est-il de leurs conditions d’exercice de ce qui n’est pas tout à fait une profession ? Par ailleurs, les valeurs hyper consuméristes véhiculées par ce système semblent un peu à contre-courant de celles qui fédèrent désormais la jeunesse.

Enfin, l’effet de mode passé, les analystes des marchés commencent à se demander si l’influence des influenceurs est si puissante qu’ils l’imaginaient"



Et pour finir, je ne peux m'empêcher de vous citer le TRÉS BON BLOG des globeuses trotteuses, qui avec leur compte #instagram @globeusestrotteuses cartonnent un max auprés de 14 000 abonnés. Une success story rare pour Juliette et Pauline qui ont su convaincre leur public avec de belles images et leur ton toujours bienveillant.

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